1- La cuve : la plupart des cuits-vapeur ont une cuve trop basse. Résultat : il y a des éclaboussures d’eau et le flux de vapeur n’est pas constant. Ici, la cuve est parfaitement proportionnée pour la remplir à moitié d’eau et cuire sans problème tous les aliments. Il est inutile de rajouter d’eau en cours de cuisson et l’espace entre la cuve et le panier est suffisante pour que la température soit constante.
2- Le panier – tamis : les trous sont largement dimensionnés, ce qui permet à la vapeur de circuler facilement dans le Vitaliseur, contrairement aux couscoussiers où les trous trop petits créent des points de chauffe et augmentent la pression. Important : Marion Kaplan déconseille fortement l’usage de plusieurs tamis empilés. Les aliments du dessus ne bénéficient pas de la même répartition de vapeur et on tendance à suinter et délaver les aliments du dessous.
3- Le couvercle : son poids et ses courbes ont été particulièrement étudiés. Lorsque la vapeur atteint le couvercle, elle se condense en eau mais retombe sur les parois intérieures de la cuve, et non sur les aliments pour ne pas les délaver. C’est le contraire de l’action d’un couscoussier où le but recherché est d’humidifier la semoule mais qui détruit sels minéraux et vitamines.
En conclusion, l’ensemble de ces proportions et leurs rapports entre elles font du Vitaliseur un allié unique pour une cuisine saine et goûteuse. Les paramètres biochimiques des légumes cuits “al dente” au Vitaliseur ont été mesurés en laboratoire : ils attestent de la haute valeur nutritionnelle préservée !